- Sweat classique unisexe avec un col rond et une coupe droite
- Manches montées et bords côtelés 1x1 au col, aux manches et à la taille
- Bande de propreté à chevrons et empiècements en forme de demi-lune au niveau de la nuque
- Simple surpiqûre au col
- Double couture centrée sur les bords côtelés
- Tissu épais : 350 g/m²
- Composition : 100 % coton bio
La bataille d'Avarayr ou d'Avaraïr (en arménien Ավարայրի ճակատամարտ), aussi connue sous le nom de bataille de Vartanantz, est une des grandes batailles de l'histoire de l'Arménie. Elle oppose le 26 mai 451 les rebelles arméniens menés par Vardan Mamikonian et leurs suzerains sassanides. Bien que les Perses soient victorieux, les Arméniens réussissent à assurer leur indépendance religieuse.
Bataille
Les 66 000 soldats de l'armée arménienne prennent leur communion avant le combat. Cette armée est majoritairement composée de paysans, encadrés par quelques soldats, tous souhaitant protéger leur religion, le christianisme. L'armée sassanide, largement plus nombreuse, compte des éléphants de guerre et le prestigieux régiment de cavalerie « Savaran ». Durant la bataille, Vardan Mamikonian et son frère Hmayeak succombent avec huit de leurs généraux et de nombreux notables, et Vasak de Siounie se range du côté perse.
CHARLES MARTEL
La bataille de Poitiers s'est sans doute déroulée le 25 octobre 732, même si l'avis des historiens diverge à ce sujet. A cette époque, la quasi-totalité de l'Espagne est occupée par les musulmans du califat omeyyade. Ceux-ci font régulièrement des incursions en Gaule, et occupent même le sud-est du territoire. En 732, Eudes, le duc d'Aquitaine, doit faire face à une nouvelle invasion, et il fait appel aux Francs de Charles Martel pour tenter de stopper ces ennemis. Si le lieu de la bataille décisive n'est pas vraiment connu, l'histoire a retenu le nom de bataille de Poitiers pour célébrer la victoire des Francs et des Aquitains sur les Musulmans menés par Abd al-Rahman, qui perd la vie lors du combat. Cet événement est devenu un symbole de la fin de l'invasion arabe en France, bien que les luttes se soient poursuivies durant plusieurs années. Elle aura surtout eu le mérite de renforcer durablement le pouvoir de Charles Martel, et de précipiter la chute des Mérovingiens au profit des Carolingiens.